Résultats 1,101 à 1,150 de 1,197
# | Notes | Lié à |
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1101 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=baulduin&n=de+bolland | de Bolland, Baulduin (I4465)
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1102 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=henri&n=boland&oc=3 | Boland, Henri (I4412)
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1103 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=henricus&n=bolland&oc=4 | Bolland, Henricus (I4429)
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1104 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=jean&n=de+bolland&oc=2 | de Bolland, Jean (I4460)
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1105 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=jean&n=de+bolland&oc=2 | de Bolland, Jean (I4459)
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1106 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=marie+elisabeth&n=lejeune | Lejeune, Marie Elisabeth (I4395)
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1107 | Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=marie+josephine+elisabeth+francoise+allonie&n=pasques | Pasques, Marie Joséphine Elisabeth Françoise Allonie (I4393)
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1108 | Source web: https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=henry+jean&n=de+bolland&oc=1 | de Bolland, Henry Jean (I4454)
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1109 | Sur les Provis, voir : P.-E. Detry, "La famille Provis issue de Jean de Prouvy", pp. 120-128 ; C. Douxchamps-Lefèvre, "Hôtels de maŒtre à Namur", pp. 54-55. | PROVIS, René (I2132)
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1110 | Tante de Fernand Golenvaux (1866-1931), avocat et industriel, conférencier, bourgmestre catholique de Namur (dont une avenue porte le nom), député, prisonnier politique après un rôle héro‹quede résistance dans la défense de Namur, Prix Blondeau (1930), commandeur de l'ordre de Léopold à titre militaire, il épousa Julienne De mol (1871-1932), dont descendance. Voir : A. Dulière, "Les fantômes des rues de Namur", Namur, 1956, pp. 342-352 (avec bibliographie) ; B. Golenvaux, "La famille Golenvaux. De Ciney à Namur, huit siècles d'histoire", Bruxelles,1997 ; "Fernand Golenvaux, mi-bâtisseur, mi-urbaniste, mi-visionnaire", in supplément immobilier de "La Libre Belgique", 17 juillet 1998, p. 3. | GOLENVAUX, Thérèse (I2025)
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1111 | Témoins : Variantes du patronyme : del Tour, del Thour, Deltour. | DELTHOUR, Hélène (I2276)
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1112 | Témoins : | PIERARD (PIERART), Anne (I2248)
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1113 | Témoins : Adrien Cloquet (1810-1871) Son parrain était le fils de Jean Joseph Cloquet, à savoir Adrien Cloquet né à Braine-l'Alleud le 29/05/1810 et décédé à Bruxelles le 12/09/1871. | CLOQUET, Louis Adrien Martin (I727)
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1114 | Témoins : Antoine Wauthier (curé de Sclayn) Il était fermier à la cense de la Basse-Cour du Château de Tongrinne qui appartenait à la famille "de Cornet de Lisse". Lors de la bataille de Ligny, sa ferme sise à Tongrinne près de Namur fut totalement pillée. On leur enleva jusqu'à la layette de leur futur enfant, les bestiaux et certains de leurs chevauxfurent retrouvés égorgés. De ces pillages, il put quand-même sauver l'argenterie, les valeurs et les papiers de famille. Il se cacha pour ne pas être contraint de conduire en France une partiede ses attelages réquisitionnés. Il existe environ 120 billets de réquisitions faites à la ferme de Dominique Joseph Wauthier, surtout des réquisitions de voiturages ainsi qu'une note de pillages faits par les Prussiens : 5chevaux, 2 vaches, 47 moutons, 9 cochons, 107 poules, 500 livres de porc salé, 105 livres de beurre, 40 tonnes de bière, de l'huile, de l'eau de vie, du vinaigre, du blé, de l'avoine, del'orge, 48 serviettes, 12 nappes, 50 chemises, 18 paires de bas, divers habits, 58 mouchoirs de mousseline, 24 mouchoirs de coton, divers vêtements de ferme, des porcelaines, des cristaux, unebatterie de cuisine, des chaudrons de cuivre, un gros meuble de cuisine, des bougies, des monnaies d'argent, un chariot avec son attelage de quatre chevaux, etc. Il est décédé suite à une épidémie causée tardivement par l'inhumation défectueuse de victimes de la bataille. Un document stipule qu'il serait décédé le 24 octobre 1820. Un autre document stipule qu'il serait décédé en 1821. | WAUTHIER, Dominique Joseph (I1367)
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1115 | Témoins : Claude Bourgeois & Marie-Anne Anciau Claude Woitrin (Wétrain, Wetrin, Wetrens, Wetrien, Wetrint), maŒtre serrurier et propriétaire d'une forge à Yvoir, sergent de ce lieu, propriétaire à Malonne d'une forge et de diverses maisonssises au lieu-dit "El may" et/ou "May Wetrin". Baptisé à Saint-Gérard le 17 août 1713, Claude Woitrin voit le jour dans une famille honorable comptant, du côté maternel notamment, des notables. Dès l'âge de dix-sept ans, ses parents lepréparent à devenir maŒtre-serrurier et propriétaire de forge. A dix-neuf ans, il effectue un stage chez le maŒtre serrurier La Chaussée à Liège* où il ne reste que six à sept mois, revenant au chevet de sa mère malade. Il poursuit alors ses stages dans leNamurois, à Yvoir, pendant un an, puis auprès du maŒtre Goffioul à Annevoie, là aussi pendant douze mois. Entre-temps, l'avenir de Claude Woitrin s'est dessiné. En 1734, il perd sa mère, àlaquelle il semble très attaché, et a vraisemblablement rencontré lors de son séjour à Yvoir celle qu'il épousera, et qui bientôt tracera les grandes lignes d'un avenir plutôt sombre : AnnePierard. Claude Woitrin termine son stage d'Annevoie pour en effectuer encore un de deux ans chez Romedenne (voir à son sujet : "La maréchalerie", in "Corporations de métiers à Namur au XVIIIe siècle",Bouge, 1998, p. 75 ; sur les Romedenne, voir entre autres : Hervé Douxchamps, "La famille de Fraipont d'Oultrecourt", in "Recueil" XL de l'O.G.H.B., Bruxelles, 1990, p. 171) à Saint-Gérard,après quoi il se marie. Moins de trois ans après son veuvage, son père s'est lui-même remarié, en 1737, avec Marie-Christine Istasse. Ayant acquis une forge à Yvoir, terre riche en maŒtres de forges (voir notamment : L. Willems et A. de Villegas, "Les usines de Moulins. La famille Jacquier de Rosée, maŒtres de forges", sanslieu ni date Les Pierard, d'Yvoir, sont en effet connus dans le village pour avoir commis certaines indélicatesses dont ce n'est pas ici le propos de faire le détail. Installés en ce lieu, Claude Woitrin etsa jeune épouse y achètent aux Montpellier une maison et y donnent naissance, de 1739 à 1753, à huit enfants : quatre fils et quatre filles. La plus jeune est encore bébé lorsque l'orageéclate. Plusieurs membres de la famille Pierard ainsi que Claude Woitrin sont présumés s'être déguisés en ... récollets ... et avoir lancé à de paisibles passants ces mots déterminés : "labourse ou la vie !" Deux beaux-frères de Claude, propriétaires de bateaux, sont en outre accusés d'avoir tenté de couler la barque marchande de Sa Majesté vis-à-vis d'Anhée, barque qui concurrençait leursactivités batelières, dont il faut se rappeler l'importance capitale, à l'époque, sur le plan du transport de marchandises (voir à ce propos et notamment sur la "nef marchande", ChristianPhilippart, "En remontant la rivière Meuse de Ben-Ahin à Bouvignes de 1551 à 1789, un aperçu de la navigation", Wépion, 1998, 71 pages). Un long et pénible procès commence. Le 25 octobre 1754, le notaire Binamé, greffier et mayeur de la Cour d'Evrehailles (sur le notaire Henri Binamé (1714-1786), neveu de Madame Louis de Prouvy (Provis), née Marie Binamé (décédéeen 1733), sexta‹eule de Philippe-Edgar Detry, auteur des recherches sur les Woitrin, voir P.-E. Detry, "La famille Provis issue de Jean de Prouvy. Une lignée de géomètres-arpenteurs namuroisaux XVIIIe et XIXe siècles", in "Le Parchemin", 1997, p. 87), est chargé en vertu d'un décret de prises de corps d'annoter les biens de tous les intéressés alors que des témoignages tantôtnégatifs, tantôt positifs ne cessent de s'accumuler. Malgré le flou incontestable qui règne, la sentence est prononcée : Claude Woitrin est banni à perpétuité des terres de Sa Majesté. Il doit dès lors quitter le comté de Namur. L'émotion est, ons'en doute, vive. Le 9 mai 1755, son père et sa belle-mère s'adressent au procureur général afin de lui demander que le blâme demeure secret "afin de sauvegarder l'honneur de la famille". L'année suivante, les 3juillet et 25 novembre, c'est Anne Pierard, son épouse, qui demande à ce que son interdiction de séjour soit suspendue, précisant que son mari a autrefois été désigné comme sergent par lemayeur de Bouvignes, ce qui prouve sa probité, et qu'il a toujours vécu honorablement "aiant rempli (sic) ses devoirs tant pour le Spirituel que pour le Temporel", et qu'il a gagné beaucoupd'argent "commerçant notamment avec les Montpellier à Annevoie". Elle précise encore que cette situation a créé des jalousies et que "des esprits mauvais, envieux et jaloux ont conjuré sa perteen le rendant suspect". Elle joint à sa requête neuf attestations d'honorabilité. Rien n'y fait cependant. Aussi est-ce à quelques kilomètres des berges de la Meuse (un curieux retour de l'histoire veut que ClaudeWoitrin soit le trisa‹eul de l'abbé Constant Woitrin (1839-1885), vicaire-coadjuteur à Yvoir en 1873), mais en terre liégeoise - à Malonne exactement - que nous retrouvons alors Claude Woitrin,sa femme et ses enfants, en ce village réputé comme terre d'asile et qui accueillera notamment quelque vingt ans plus tard, dans sa fuite, Fabre d'Eglantine, lors de ses démêlés judiciairesliés à une aventure galante (voir : Georges Froidcourt, "Le procès de Fabre d'Eglantine devant le magistrat de Namur en 1777", Liège, 1941, p. 81 ; Th. Pisvin, "La vie intellectuelle à Namursous le régime autrichien", Louvain, 1963, p. 221. Toutefois comme le signale Georges Froidcourt, une ordonnance du 1er septembre 1738 prévoyait l'extradition du pays de Liège pour toutmalfaiteur accusé d'être assassin, voleur, incendiaire, brigand, etc. Ainsi Fabre d'Eglantine, accusé de "rapt de séduction" sur la personne de Catherine Desresmond, fut-il, alors qu'il secroyait en sécurité, arrêté à Malonne avec sa "victime", le 22 février 1777). Propriétaire à cet endroit d'une forge et construisant ou transformant sa maison au lieu-dit "El may", Claude Woitrin surmonte la porte d'entrée de sa demeure d'un cartouche, toujours visibleaujourd'hui et portant "C.W. 1763". Le 19 janvier 1763, Claude Woitrin, ses frères et soeurs, belle-mère et demi-frère et soeurs comparaissent devant la Cour de Brogne (Saint -Gérard) "afin d'assoupir diférens points dedifficultés qu'il y avoit entre eux". Les enfants de Gérard Woitrin se partagent alors différents biens composés de rentes, mais aussi de maison, grange, écurie, étables, jardin, prairies,trieu, césure, bois et terres situés à Saint-Gérard et provenant en grande partie de la famille Delthour : dans la campagne de Potron sur le chemin de Philippeville à Namur, dans la campagne dePraile, aux lieux-dits "Monsiat" près de la cense de la Falize, "Fonds du chêne" près des censes de Neffe et Montigny, "trieu à l'eau" et "Faulx" touchant au chemin de Saint-Gérard à Bioul(voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1444. Sur les biens laissés par Gérard Woitrin, voir encore : Archives de l'Etat à Namur, "Communes d'Ancien Régime, chassereau pour l'aidede la terre de Brogne", 1774, nø 435. Pour la toponymie des lieux évoqués, voir Abbé René Blouard, "Saint-Gérard de Brogne", in "Le Guetteur wallon", 1959, pp. 99-107). Dès le lendemain,Pierre-Paul, frère de Claude, qui a racheté à la succession la maison familiale, la revend à sa belle-mère. On apprend qu'elle est située sur la place de Saint-Gérard et que des dépendancestouchent à la cense de Mautroux (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1444. Sur les biens laissés par Gérard Woitrin, voir encore : Archives de l'Etat à Namur, "Communes d'AncienRégime, chassereau pour l'aide de la terre de Brogne", 1774, nø 435. Pour la toponymie des lieux évoqués, voir Abbé René Blouard, "Saint-Gérard de Brogne", in "Le Guetteur wallon", 1959, pp.99-107). Il s'agit très probablement de la demeure ayant appartenu, dès 1688, à Pierre Delthour et Marie Gravier, grands-parents maternels de Claude Woitrin. Dès le 28 mars 1763, Claude Woitrin revend les terres héritées à Léonard Bechet, greffier de Brogne et Saint-Gérard (voir sur ce personnage, Madame Yves de Thomaz de Bossierre, "Les Thomaz deBossierre", p. 19). Le 8 août de cette année-là, par-devant les mêmes cours, comparaissent Claude Woitrin et sa belle-mère Marie Catherine Istasse, veuve de Gérard Woitrin, cette dernière déclarant "d'avoir admitainsy qu'elle fait par cette Claude Wetrin de résidence à Malonne de nous bien connu au retrait lignager de la maison, grange, écurie (...) pour ledit Claude Wetrin cy présent et acceptant parluy et ses enfants en jouir seulement au 20 de janvier de l'an prochain" (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1444. Sur les biens laissés par Gérard Woitrin, voir encore :Archives de l'Etat à Namur, "Communes d'Ancien Régime, chassereau pour l'aide de la terre de Brogne", 1774, nø 435. Pour la toponymie des lieux évoqués, voir Abbé René Blouard, "Saint-Gérard deBrogne", in "Le Guetteur wallon", 1959, pp. 99-107). A peine, en janvier 1764, Claude Woitrin est-il en possession de la maison familiale qu'il la revend, dès le 21 février, à Dieudonné Dergo, cuisinier de l'abbaye de Saint-Gérard (voir sur cepersonnage, Madame Yves de Thomaz de Bossierre, "Les Thomaz de Bossierre", p. 19). Ainsi en est-ce fini d'une succession qui ne semble pas s'être faite sans difficultés. Claude Woitrin paraŒt avoir coulé, à Malonne, des jours heureux, endeuillés toutefois par la mort de son épouse en 1769. Le 7 mai 1770, il vend avec ses enfants une grange à Saint-Gérard aumême Dieudonné Dergo (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1452). Se sentant vieillir, il se présente, le 7 décembre 1777, devant le notaire Destrée, greffier de Malonne, afin de partager ses biens, se réservant toutefois l'usufruit de terres et l'occupationde sa maison de résidence. Sept parts sont formées entre ses enfants et composées de deux maisons avec dépendances, d'une forge et de plusieurs terres, le tout formant un ensemble assez vaste désigné sous le vocable de"May Wetrin" (voir : Archives de l'Etat à Namur, Protocoles notariaux, nø 4353). Le lieu-dit porte aujourd'hui le nom de chemin "El may", la maison occupée par Claude Woitrin appartenant àMonsieur et Madame André Goffin, propriétaires de la librairie "Au Vieux Quartier", rue de la Croix à Namur. Voir aussi : M. Awoust, "L'habitat à Malonne en sortant de l'Ancien Régime", in"Bulletin du Cercle historique et archéologique de Malonne", nø 6, juin 1987, pp. 4-7 ; M. Awoust, "Malonne, pays de Liège", Malonne, 1988, p. 271 (où en 1820 encore, on parle de "Méz desWetrin"). Claude Woitrin s'éteint deux ans plus tard laissant une descendance nombreuse, alliée à la bourgeoisie rurale puis namuroise, sans que la sentence dont il avait fait l'objet n'ait porté,semble-t-il, de préjudice à l'établissement de ses enfants. * Comme le souligne Bernard Wodon, il faut entendre par "serrurerie" l'ensemble de la production en fer forgé liée à la notion de clôture (grilles, garde-corps, rampes, etc.), et dans laquelleLiège excellait. La région de Fosses, voisine de Saint-Gérard, était quant à elle aussi réputée. Voir : Bernard Wodon, "La serrurerie monumentale liégeoise au XVIIIe siècle", in "Actes duCongrès d'histoire de Namur", Namur, 1988, p. 282. Les renseignements liés à la vie de Claude Woitrin sont extraits du dossier de son procès. Voir : Archives de l'Etat à Namur, Conseil provincial, correspondance, liasse nø 162, Procès à chargedes particuliers, nø 3404, 3408, 5109, et Echevinages d'Yvoir, nø 8427 ; voir aussi sur la condition judiciaire, "Les annales de la Société archéologique de Namur", tome 72, Namur, 1998. | WOITRIN, Claude (I2247)
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1116 | Témoins : Claude Woitrin & Anne-Marie Fondair Installée à Bruxelles. | WOITRIN, Anne-Marie (I2306)
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1117 | Témoins : Claude Woitrin & Jean-Joseph Istasse Le mariage de Gérard Woitrin et Marie-Catherine Istasse fut célébré par le Révérend Père Bernard Rutte, frère mineur Récollet à Namur, spécialement délégué auprès du curé de Bois-de-Villerspour célébrer l'office (voir : Archives de l'Etat à Namur, Registres paroissiaux de Bois-de-Villers, mariages, année 1737). Les trois enfants survivants de Gérard Woitrin et de sa seconde épouse Marie-Catherine Istasse se partagent diverses terres le 21 février 1791. | Famille F986
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1118 | Témoins : Désiré Collignon & Marie-Joseph Dieudonné | WOITRIN, Marie-Joseph (I2273)
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1119 | Témoins : Félix Van Roie Il était fonctionnaire : Directeur de l'Enregistrement et des Domaines du Brabant. Sa femme en disait ceci : "J'ai eu un mari excellent dont l'heureux caractère faisait dire à un de ses amis que jamais il n'avait connu un homme aussi satisfait de ses enfants, de sa positionet de sa femme. Aussi, à la fin de sa vie surtout, il n'adressait à Dieu que des actions de grâces." Il était souvent distrait et cette distraction est restée proverbiale par la remarque que lui faisait régulièrement sa femme : "Félix, sois présent !" | de CONINCK, Félix (I253)
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1120 | Témoins : Gérard Finet & Anne-Jeanne Radu Anne-Jeanne Woitrin (Wetrin) (ex matre Stienon dans son acte de décès, où on lui donna pour mère sa grand-mère maternelle !). | WOITRIN, Anne-Jeanne (I2253)
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1121 | Témoins : Gérard Woitrin & Marie-Josèphe Pierard Reçu bourgeois de Namur le 20 mai 1795. | WOITRIN, Claude Joseph (I2251)
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1122 | Témoins : Guillaume Deltour & Corneil-Louis Martin | Famille F973
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1123 | Témoins : Henry Dubois & Jeanne Hardy Joseph Henri Woitrin (Wetrin), propriétaire d'immeubles à Malonne, dont une demeure à l'enseigne "La basse calange". | WOITRIN, Joseph Henri (I2238)
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1124 | Témoins : Hubert Depèze & Anne-Marie-Josèphe Gravy | WOITRIN, Marie-Anne Josèphe (I2305)
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1125 | Témoins : Jacques-Joseph Marneffe & Marie-Josèphe Chapelle Jacques Joseph Woitrin (Wetrin), propriétaire rue Notre-Dame et rempart "ad aquam", à Namur, d'une demeure composée de deux maisons (voir Archives de l'Etat à Namur, Enregistrement desdomaines, liasse nø 3967, déclaration de succession nø 6343, du 29 août 1834 ; la déclaration est signée de la "veuve Woitrin née Ergo", et de Marie-Thérèse Woitrin, Théodore étant encoremineur d'âge). | WOITRIN, Jacques Joseph (I2230)
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1126 | Témoins : Jean Grosjean & Marie-Josèphe Istasse | WOITRIN, Marie-Josèphe (I2312)
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1127 | Témoins : Jean Istasse & Catherine Fosséprez Origine du patronyme Istasse - Sur cette famille, une des plus anciennes de Bois-de-Villers, voir : Philippe-Edgar Detry, "La famille Provis issue de Jean de Prouvy. Une lignée degéomètres-arpenteurs namurois aux XVIIIe et XIXe siècles", in "Le Parchemin", 1997, pp. 115-116 ; voir aussi "La banque commerciale namuroise Provis, Renard et Compagnie", in "Le Parchemin",2000, pp. 377-385. | ISTASSE, Marie-Catherine (I2291)
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1128 | Témoins : Jean Pierard & Marie-Josèphe Stienon | WOITRIN, Jean Joseph (I2268)
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1129 | Témoins : Jean Stévenart & Marie-Marguerite Philippart (??) | PHILIPPART, Marie-Marguerite (I2239)
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1130 | Témoins : Jean-Baptiste Delvaux & Jeanne-Josèphe Horion | WOITRIN, Jeanne Catherine (I2272)
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1131 | Témoins : Jean-François Pierard & Marie-Josèphe Stienon | WOITRIN, Jean François Joseph (I2270)
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1132 | Témoins : Jean-Joseph Istasse & Marie-Anne Romedenne | WOITRIN, Anne-Joseph dite Aussi Marie-Anne (I2309)
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1133 | Témoins : Jean-Joseph Moiny * & Marie-Josèphe Etienne * Jean Joseph Moiny (1756-1811) (ex matre Ergo), fondeur de cuivre rue de Fer à Namur, épousa Marie-Thérèse Davin (1755-1832) (voir : chevalier de Kessel, "La Belgique et sa noblesse officielleet non-officielle, Province de Namur, Bruges et Bruxelles", 1886, p. 41), fut le père de Marie-Thérèse Moiny (1790-1857), qui épousa Alexis Mouson (1791-1869), maŒtre coutelier à Namur, et legrand-père de Louis Mouson (1811-1890), professeur de dessin puis négociant en vins Grand-Place à Namur, qui épousa le 27 avril 1859 Elie Gérondal (1841-1865) (ex matre Cajot) (voir : Archivesde l'Etat à Namur, Protocoles notariaux, nø 6597). | ERGO, Marie-Josèphe Ghislaine (I2231)
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1134 | Témoins : mariage dissous à Namur en mai 19921 ADDR Marc et Ana WOITRIN Usine De Boran B.P. 31 (??) F-60460 PRECY SUR OISE (??) FRANCE 1 PHON 44.27.70.03 (??) | Famille F384
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1135 | Témoins : mariage dissous en avril 1999 | Famille F393
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1136 | Témoins : Michel Deltour & Anne Reçu bourgeois de Bruxelles le 24 avril 1750 (voir : Musée Royal de l'Armée à Bruxelles, fichier du cabinet Colin Installé à Bruxelles où il n'eut pas de descendance. | WOITRIN, Michel (I2294)
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1137 | Témoins : Michel Woitrin & Agnès Defre(s)ne Bourgeois de Lessines où il renoue avec ses origines maternelles. | WOITRIN, Gérard (I2304)
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1138 | Témoins : Michel Woitrin & Marie-Françoise Defresne | WOITRIN, François-Joseph (I2307)
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1139 | Témoins : noms illisibles | WOITRIN, Jean-Jacques (I2303)
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1140 | Témoins : Notaire Lathuy de Gembloux | Famille F675
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1141 | Témoins : Pierre Piret & Marie-Josèphe Empereur | WOITRIN, Marie-Josèphe (I2313)
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1142 | Témoins : Pierre-François Noël & Marie-Thérèse Finet | WOITRIN, Marie-Thérèse (I2269)
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1143 | Témoins : Pierre-Joseph Grosjean & Marie Grosjean Installé à Bruxelles où il eut une descendance (voir : Musée Royal de l'Armée à Bruxelles, fichier du cabinet Colin (verbo Woitrin). Ses fils Hubert-Joseph et Nicolas se présentent devant laCour de Brogne le 8 mai 1780 à propos d'une rente due à feu leur père (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1449). | WOITRIN, Pierre-Joseph dit Pierre-Paul (I2299)
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1144 | Témoins : Thérèse Wetrin, Nicolas Hancy & Jean-Baptiste Hancotte | Famille F967
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1145 | Théodore Ghislain Woitrin (Wetrin), négociant-serrurier-taillandier puis opticien rue du Pont à Namur, propriétaire d'une fabrique de chandelles et de tamis dans la maison paternelle rueNotre-Dame. Cette propriété, composée de deux demeures, sera vendue le 28 mars 1887, par-devant les notaires Monjoie et Delvigne, par les héritiers de Théodore Woitrin et de sa soeur, MadameFoulon ; Honoré Defossez achètera la maison, côté rue Notre-Dame 23, et Emile David, celle côté rempart "ad aquam" 12. Opticien réputé à Namur, Théodore Woitrin recourt aux services de la Maison Fallon, orfèvres, rue de l'Ange à Namur (voir : Archives de l'Etat à Namur, registres des clients, années 1868 à 1873notamment ; ledit fonds est soumis à autorisation), pour la réparation de lorgnons en or ou l'achat de clefs de montres, articles vendus par la Maison Woitrin, et pour l'achat ou la remise enétat, pour son beau-frère, le doyen Bruskin, d'articles religieux. Notamment le 18 avril 1867, la réparation de trois boŒtes aux saintes huiles et la fabrication d'un piedestal en argent. Lors du recensement de la population en 1866, Théodore Woitrin est qualifié de "négociant en modes", mais il semble que ce fût là une activité passagère, bien que son négoce d'opticien permŒtla mise à la disposition de la clientèle de nombreux articles de genres variés : parapluies, cannes, éventails, etc. Une annonce publicitaire parue dans le journal catholique namurois "L'Ami de l'ordre" précise que la Maison Woitrin-Bruskin détient un "assortiment complet de lunettes, pince-nez, lorgnons,etc. des premières fabriques de France et d'Allemagne, et est dépositaire des verres en cristal de Bohême qui ont la propriété de conserver et d'adoucir la vue. 6 francs" (voir : Archives del'Etat à Namur, Recensement de 1866, fiche Woitrin ; R. Dejollier, "Namur-revue 1829-1914", sans lieu, 1981, (voir année 1844). La déclaration de succession de Théodore Woitrin aurait puutilement nous renseigner sur l'étendue de son négoce et sur son état de fortune. Elle figure hélas parmi une liasse de documents introuvable tant aux Archives de l'Etat à Namur qu'àl'administration de l'Enregistrement. Son épouse possédait quant à elle, en bien propre, une propriété à Philippeville >> voir Archives de l'Etat à Namur, Enregistrement et domaines, liasse nø4056, déclaration de succession nø 447). Chrétien convaincu, Théodore Woitrin figure parmi les membres fondateurs de l'Association d'hommes pour l'adoration du Très Saint-Sacrement, fondée le 6 janvier 1867 par Monseigneur Dechamps,évêque de Namur, et placée sous la présidence du chanoine Descamps, alors curé de Saint-Jean-Baptiste. Théodore Woitrin y retrouve là de nombreux Namurois, au rang desquels : Ernest Mélot,Henri Misson, Joseph Balon, Alexis et Félix Bribosia, Henri Capelle, Henri de Woot de Trixhe, Eugène Frapier, Henri Fallon, Alexis LemaŒtre, Jules Leveaux, Henri Logé, Victor Gérard et PierreJavaux (1800-1873), quadrisa‹eul de Philippe-Edgar Detry. | WOITRIN, Théodore Ghislain (I2165)
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1146 | Tout ce qu'on sait de cet enfant, c'est qu'il est mort en bas âge à l'âge de quinze mois (voir : Soeur Emilie Hanoteau I.E.J., "Une grande nivelloise : Mère Gertrude >Justine Desbille<,fondatrice des soeurs de l'Enfant-Jésus de Nivelles 1801-1866", Institut de l'Enfant-Jésus, Nivelles, 1985. Livre en possession de la bibliothèque de Nivelles sous la référence : 2.8 HAN 15.2G U Niv 02 27 | DESBILLE, Hippolyte (I1791)
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1147 | Troisième enfant de Philippe Woitrin et Marie-Claire De Bauw. | WOITRIN, Gaëtan Paul Christian (I948)
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1148 | Troisième épouse d'Adrien Joseph Diesbecq. | PIGEOLET, Jeanne Catherine (I1364)
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1149 | Un document écrit de la main de Norbert Cloquet stipule que Félix Cloquet serait mort à l'âge de 9 ans et demi (document fourni par Denis Cloquet). | CLOQUET, Félix Pierre (I732)
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1150 | Un document écrit de la main de Norbert Cloquet stipule que Henri-Norbert Cloquet serait décédé à l'âge de 11 mois (document fourni par Denis Cloquet). | CLOQUET, Henri Norbert (I729)
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